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tains sujets, qui saurait être plus compétent que le médecin ?

Nous n’avons voulu, on le comprendra, qu’esquisser sommairement et dans ses grandes lignes, un programme que nous nous proposons de développer. Nous croyons en avoir dit assez pour justifier une création que nombre d’esprits cultivés réclamaient.

S’il faut une preuve de l’opportunité de cette création, elle est dans le concours chaleureux que nous avons trouvé auprès des diverses personnalités à qui nous avons soumis notre projet, et qui ont accepté, avec une bonne grâce et un empressement qui nous ont vivement touché, de nous seconder dans notre tâche.

Le Comité de direction et de patronage, dont on va voir la composition, en parcourant la liste ci-dessous, sera un véritable « Bureau de consultation », selon l’heureuse expression du professeur Landouzy. Auprès de chacun de ses membres, les travailleurs sont assurés de toujours rencontrer le plus bienveillant accueil.

Le Comité directeur de la Société médico-historique comprend : des médecins en majeure partie ; des historiens ; des professeurs d’histoire ; des littérateurs. Nous n’avons pas à insister sur la qualité de nos adhérents de la première heure ; leurs noms nous dispensent d’une longue présentation. Ce sont :


 MM.

Benoit, professeur d’histoire de l’art à l’Université de Lille.
Bourget (Paul), de l’Académie française.
Brissaud, professeur à la Faculté de Médecine de Paris.
Cain (G.), conservateur du Musée Carnavalet.
Claretie (J.), de l’Académie française.
Debove, doyen de la Faculté, membre de l’Académie de Médecine.
Dumas (G.), docteur en médecine, docteur ès sciences, maître de conférences à la Sorbonne.
Dupré, professeur agrégé à la Faculté, médecin en chef du Dépôt.