Page:Campan - Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette, tome 2.djvu/276

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mon désespoir, si ces honorables paroles ne m’eussent apporté quelque consolation[1].


FIN DU TOME SECOND.

  1. Ici se terminent les Mémoires de madame Campan ; son récit finit avec ses services auprès de l’infortunée princesse qui appréciait son zèle et son dévouement. Elle n’a voulu parler que de ce qu’elle avait vu de ses yeux, ou appris de la bouche même de la reine ; et le silence qu’elle a gardé sur les événemens déplorables qui suivirent le 10 août, n’en donne que plus de poids à son témoignage sur tout ce qui précéda ces malheureux jours.
    (Note de l’édit.)