Page:Carnet de guerre d'Albert Labbé.pdf/68

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

On économise nos cartouches. La poussée devient terrible, on revient sur ses pas, aprés avoir vider 2 équipements (celui de Martin tué a mon côté). Les bôches lancent des grenades, c’est alors que j’en ai recu un éclat sur la tête. A moitier assommer, je me suis réfugier dans une sappe. Aprés avoir rester la une demi-heure, les bôches arrvent arrivent en nombre. Plusieurs des notres sont prisonniers. Les bôches les font avancer vers nous et en profitent pour se préserver de nos balles.