Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/10

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
Comment les vertus séprouvent et se fortifient par leurs contraires 
 30
Comment l’on ne doit pas affectionner principalement les pénitences extérieures, mais la vertu, et comment la discrétion est vivifiée par l’humilité et rend à chacun ce qui lui est dû 
 33
Allégorie qui montre comment l’humilité et la discrétion sont unies ensemble, et comment l’âme doit se conformer à cette allégorie 
 37
Comment la pénitence et les autres exercices corporels doivent servir de moyens pour parvenir à la vertu, mais ne doivent pas être aimés principalement. De la lumière de la discrétion dans l’emploi de divers autres moyens 
 39
Rappel de quelques choses déjà dites, et comment Dieu promet la consolation à ses serviteurs et la réforme de l’Église, par le moyen de grandes souffrances 
 46
Comment cette âme par la réponse divine sent, tout à la fois, croître et diminuer sa souffrance, et comment elle prie Dieu pour la Sainte Église et pour son peuple 
 50
Comment Dieu se plaint du peuple chrétien et en particulier de ses ministres. Quelques réflexions sur le sacrement du corps du Christ et sur le bienfait de l’Incarnation 
 55
Comment la faute est plus gravement punie depuis la passion du Christ qu’elle ne l’était auparavant, et comment Dieu promet de faire miséricorde au monde et à l’Église, moyennant la prière et la souffrance de ses serviteurs 
 61