Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/440

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spirituel ; car, s’il en était ainsi, je ne m’attacherais qu’au second signe, de l’entraînement à la vertu.

Voilà les éclaircissements que je vous demande afin de vous pouvoir servir en vérité, Vous et mon prochain, sans me laisser aller à aucun faux jugement sur vos créatures et sur vos serviteurs ; car il me semble, que ces jugements éloignent l’âme de Vous, et je ne voudrais pas tomber en ce malheur.