Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/460

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leur saint désir avec Moi, revêtus qu’ils sont de ma douce volonté. Et souffrants ils sont aussi, par leur compassion à l’égard du prochain, et par les mortifications qu’ils infligent à leur propre sensualité, pour la sevrer des plaisirs et des joies sensibles.