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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/110

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POÉSIES DE 1830

96 POÉSIES DE 1830 Douce nuit, ton charme paisible (A LA NUIT). Rive enchantée (A LA SEINE). A ma belle patrie (LA FIANCÉE). Pèlerine, où vas-tu si tard ? (LA PÈLERINE). Repris dans la Guirlande des Dames de 1826. L’heure du bal, enfin, se fait entendre (LE BAL). Distraite et malheureuse (CLÉMENTINE). Repris dans la Guirlande des Dames de 1824 et dans l’Album lyrique, 1825 (signée : Dame Desbordes- Valmore). Cache-moi ton regard plein d’âme et de tristesse (LE REGARD). Ahl que le monde est difficile ! (L’ETRANGÈRE). Repris dans la Guir- lande des Dames de 1826 et dans l’Almanach des Demoiselles de 1826, avec musique de J. B. Woët. Adieu pour toujours (L’ADIEU). Viens, si tu veux rêver d’amour (LES SONGES ET LES FLEURS). Re- pris dans la Couronne de Flore, 1837. Dans la foule, Olivier, ne viens plus me surprendre (LE SECRET). Re- pris dans le Souvenir des Ménestrels de 1826, avec musique de E. Brugnière, et dans la Guirlande des Dames de 1826 et de 1829. Qu’as-tu fait d’un aveu doux à ton espérance ? (LA JALOUSIE). Repris dans le Chansonnier des Grâces de 1826. Il m’attend : je ne sais quelle mélancolie (LE RENDEZ-VOUS). Repris dans la Guirlande des Dames de 1826. Hélasl que les vieillards savent de tristes choses ! (LES SERMENTS). Il a demandé l’heure : Oh ! le triste présage ! (BONSOIR). Repris dans le Chansonnier des Grâces de 1833, avec musique de Mlle Lecomte. Dans sa course brûlante (L’ORAGE). Dis-moi, fera-t-il beau demain ? (QUE JE TE PLAINS). Il le faut, je renonce à toi (LA SÉPARATION). Si ta marche attristée (C’EST MOI). Repris dans le Souvenir des Ménes- trels de 1827, sous le titre : Me vois-tu, m’entends-tu ? avec musique de Lélu ; dans la Psyché, 1829, dans l’Almanach des Demoiselles de 1831 et dans la Revue des Deux-Mondes, 1822, avec musique de Mme Ménessier-Nodier. Un moment suffira pour payer une année (UN MOMENT). Hélas ! que je dois à vos soins ! (LA RECONNAISSANCE). Repris dans l’Almanach des Demoiselles de 1826 sous le titre : La pénible reconnaissance, avec musique de Romagnési.