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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/147

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A MES JEUNES AMIS 133 Il est un bosquet sombre où se cache la rose (CHANT D’UNE JEUNE ESCLAVE). Qu’a-t-on fait du bocage où rêva mon enfance ? (LE BERCEAU D’HÉLÈNE). Il est deux Amitiés comme il est deux Amours (LES DEUX AMITIÉS). Prête à s’élancer, joyeuse (L’HIRONDELLE ET LE ROSSIGNOL). Par mon baptême, ô ma mère (LE PETIT ARTHUR DE BRETAGNE). C’était jadis. Pour un peu d’or (CONTE IMITÉ DE L’ARABE). Humble fille de l’air, mouche bleue et gentille (LA MOUCHE BLEUE). Un tout petit enfant s’en allait à l’école (L’ÉCOLIER). Il ne faut plus courir à travers les bruyères (CONTE D’ENFANT). Tout perdu dans le soin de sa jeune famille (LE PÉLICAN, OU LES DEUX MÈRES). Venez bien près, plus près, qu’on ne puisse m’entendre (LE PETIT MENTEUR). Tremblante, prise au piège et respirant à peine (LA SOURIS CHEZ UN JUGE). Au fond d’une vallée où s’éveillaient les fleurs (LES DEUX ABEILLES). Venez, mes chers petits ; venez, mes jeunes âmes (LE SOIR D’ÉTÉ). On accourt, on veut voir la mère infortunée (UNE MÈRE). Le volume se termine par deux contes en prose : Le Phi- losophe sans le savoir (p. 285) et L’Incendie (p. 299). Didier, libraire — éditeur, quai des Grands — Augustins, 47, écoula le stock de cette édition, en 1833, sous une couverture de rechange.