I.
POÉSIES DE 1819
ÉLÉGIES, || MARIE, || ET || ROMANCES. || Par Mme Marceline Desbordes. || À Paris, || Chez François Louis, libraire, || Rue Haute-feuille, N° 10. || 1819. ||
Trois parties en un volume in-12 de 72 pages, dont les deux premières ne sont pas chiffrées (le faux-titre porte au verso : Imprimerie de Richomme, Rue Saint-Jacques, N° 67 ; titre blanc au verso, et début du texte) ; 92 pages ; 52 pages.
La première partie contient les Élégies, et la table occupe les deux dernières pages ; la seconde contient Marie (nouvelle en prose), et la dernière les Romances.
La première partie est d’une typographie plus serrée.
Frontispice (Marie. Mais par où tourner, ma mère…), gravé par Dupréel ; une planche (Me voici devant la chapelle…), gravée par Johannot d’après Desenne (p. 23), qui avait déjà servi pour l’Almanach des Muses de 1816 ; une planche (Son œil mourant s’entr’ouvre à la lumière…), non signée (p. 40) ; une planche (Courez, petit enfant…), gravée par Lecerf d’après Chasselat (p. 67).
HISTOIRE. Le volume que nous décrivons ici est l’édition originale du premier recueil de Marceline Desbordes-Valmore. Cette édition est devenue fort rare.