Aller au contenu

Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/352

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

338 LES ANGES DE LA FAMILLE 10. L’enfant disait au nuage (LE NUAGE ET L’ENFANT). 11. UN PHILOSOPHE RAPPORTA DE L’UN DE SES VOYAGES… (LE CÔTÉ DU SOLEIL). 12. DANS LES PREMIERS JOURS DE MON ÂGE… (LA MAISON BLANCHE). 13. Ah ! je suis inconsolable (LA PETITE FRIVOLE). 14. C’ÉTAIT EN 1830. SEPTEMBRE… (LES VACANCES OU LES PETITS POLITIQUES). Ce conte avait paru en 1843 dans le Musée des Familles. 15. Si j’étais assez grande (LES ENFANTS ET LES MIROIRS. A Me Emilie Bascans). Me Sophie Lagut, née en 1800, avait épousé Ferdinand Bascans, rédacteur à la Tribune. Après son mariage, "il s’était mis à enseigner avec douceur la philosophie et la littérature », à l’institution de Chaillot, dont sa femme était directrice. C’est dans cette institution qu’Ondine Valmore fit ses études ; c’est là aussi qu’elle fut sous-maîtresse. M. Bascans était particuliè- rement lié avec Armand Marrast, qui devenu maire de Paris en 1848, nomma Ondine inspectrice des pensions de demoiselles de la Ville. Mme Bascans avait deux filles, Emma et Emilie. Cette poésie est dédiée à l’une d’elles. 16. UN ROI FAISAIT BATIR… (LES PÉPINS DU ROI GUILLAUME).