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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/517

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Abîme à franchir seule où personne, oh ! personne. — 217. Achète-moi si l’or est ton partage. — 298. Adieu, douce pensée. — 41, 95. Adieu, fauvette ! Adieu ton chant plein de douceur ! -21, 98. Adieu, ma petite. — 447. Adieu ! mes fidèles amours. — 25, 42, 93. Adieu, Muse, on me marie. —42, 55, 97. Adieu pour toujours. —52, 96. A genoux ! L’Angélus appelle ! — 256. Ah ! je suis inconsolable. —338, 391, 406. Ah ! la danse ! la danse ! — 392. Ah ! l’enfer est ici ; l’autre me fait moins peur. — 385. Ah ! mon père ! mon père ! où retrouver mon père ? — 328, 410. Ah ! prends garde à l’amour, il menace ta vie. — 61, 94, 400. Ah ! que le monde est difficile. —41, 53, 96. Ah ! si j’étais le cher petit enfant. — 388, 408, 410. Aimable chien, fidèle et bon médor. — 29, 12, 98, 446. A l’heure où s’éteignait le chant de l’alouette. — 53, 97. Albert n’avait pas le goût… (prose). — 337. Aline quitte son village. — 446. Allez en paix, mon cher tourment. — 347. Allez, pensers d’amour, vers de nouvelles âmes. — 157.