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TABLE DES POÉSIES D’APRÈS LEURS INCIFC Caravane aux voix enflammées. — 398, 407. Ce doux lutin qu’il me faut oublier. —446. Ce fut un jour pareil à ce beau jour. — 347. Ce gracieux enfant, cette innocence nue.-225. Ce jour si beau, ma mère, était-ce un jour de fête.— 67, 92, 282. Ce n’est pas une vague et trompeuse espérance. — 30, 42, 98. Ce n’était plus quand l’été se couronne (Voir : Le vieux crieur allait contant l’histoire). — 410. Ce que j’ai dans le cœur, brûlant comme notre âge. — 148. Ce soir, ami, tu m’attendras. — 445. Cesse de m’apprendre. — 396. C’est beau la vie. — 215, 267, 409. C’est demain qu’une ville aimée. — 328. C’est en vain que l’on nomme erreur.-25, 40, 93, 132, 283. C’est… hélas ! non, c’était la lointaine colombe. — 242. C’est ici… pardonnez, je respire avec peine. —109, 284. C’est là que j’ai vu Rose Dassonville. — 368. C’est l’oiseau qui passe. — 329. C’est qu’ils parlaient de toi quand loin du cercle assise. — 158, 285. C’est toujours la pitié qui rassemble les femmes. — 312. C’était donc votre mort que vous chantiez, poète. — 309. C’était en 1830. Septembre… (prose). — 338. C’était jadis pour un peu d’or.-21, 55, 97, 133, 400, 407. C’était l’heure où des monts les géantes structures. — 321. C’était l’hiver, et la nature entière.-30, 95, 132, 284. C’était un songe : il me parlait.— 156. Cette couleur autrefois adorée. — 19, 93. Cette rose ravie aux roses du jardin. — 395. Cher petit oreiller doux et chaud sous ma tête. — 185, 267, 287, 406. Clémentine à genoux. —30, 42. Comme aux inertes flancs de sa mère expirée. — 255. Comme ils s’aiment là-bas ! mon père qu’elle est belle. — 325.