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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/524

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TABLE DES POÉSIES D’APRÈS LEURS INCIPIT J’ai vu bien des enfants mal éclos dans ma vie. – 389, 405. J’ai vu dans l’air passer deux ailes blanches. — 307. J’ai vu languir au fond de la vallée. — 410. Jamais voyez-vous la colombe. — 446. J’appris à chanter en allant à l’école. — 365, 408. Jardin de ma fenêtre. — 249, 397. 510 Jardin si beau devenu sombre. — 243. J’aurai toujours des pleurs pour le doux nom d’Hyacinthe. — 447. J’aurai toujours une prière. — 329. Je crains Dieu, ma mère. — 257. Je l’ai rêvé ! c’eût été beau. — 216. Je me meurs, je succombe au destin qui m’accable. — 29, 41, 98. Je m’ignorais encore ; je n’avais pas aimé. 19, 52, 93, 283. Je n’ai vu qu’un regard de cette belle morte. — 366. Je ne dis rien de toi, toi la plus enfermée. — 381. - Je ne reproche rien au passé ; je l’oublie. — 329, 410. Je ne sais plus d’où naissait ma colère. —69, 97. Je ne veux pas dormir, ô ma chère insomnie. — 19, 93, 282. J’entends sonner dimanche.-397. Je reviens à vos pieds, Marie. — 124. Je sais lire, ô bonheur ! ô clarté ! je sais lire. — 121. Je suis fleur des champs. — 296. Je suis la prière qui passe. —378. Je suis là toute seule, immobile, cachée. — 259. 1 J’étais à toi peut-être….. avant de t’avoir vu.-48, 93, 283. J’étais enfant : l’enfance est écouteuse. — 115, 132, 285. Je t’écrirai toujours, ne fût-ce que des larmes. — 297. Jeune âme ! qui venez regarder sur la terre. — 256. Jeune femme, écoutez : au fond de cet asile. —447. Jeune homme irrité sur un banc d’école. —322. Jeunesse, adieu ! car j’ai beau faire. — 330. J’eus en ma vie un si beau jour. —68, 84, 95.