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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/532

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TABLE DES POÉSIES D’APRÈS LEURS INCIPIT Que n’as-tu comme moi pris naissance au village…-34, 284. Que sais-tu, cher ingrat, quand tu ris de mes larmes. — 303. Qu’est devenu le temps où la seule pensée.— 444. 518 Qu’est devenu le temps où le seul mot d’absence. — 445. Qu’est-ce donc qui me trouble et qu’est-ce que j’attends ? -17, 92, 282. Que ton cœur prenne ma défense. — 168. Que veux-tu ? Je l’aimais. Lui seul savait me plaire. — 61, 94, 400. Que vous soyez pour tous la charité qui pleure. — 393. Qui délia ma langue aux sons de la prière. — 409. Qui m’a couvé neuf mois dans son sein gros d’alarmes.-215, 266. Qui m’appelle à cette heure, et par le temps qu’il fait ? —21, 93, 282. Qui me consolera ? moi seule, a dit l’étude. — 364. Qui me rendra ce jour où la vie a des ailes. — 175, 286. Qui ? moi changer ! moi devenir volage.-447. Qui sait si votre enfant qui flotte dans vos larmes. — 377, 409. Qui ? toi mon bien-aimé, t’attacher à mon sort. —52, 94, 283. Quoi ! Béranger ! quoi ! l’ami de la France. — 117, 284. Quoi ! c’est d’une prison que sort cette lumière ! — 232. Quoi ! c’est là ton berceau, poétique Louise. — 173. Quoi ! ce n’est plus pour lui, ce n’est plus pour l’attendre. —60, 94, 283. Quoi, Daniel ! à six ans vous faites le faux brave.-122, 132, 267, 287, 405. Quoi ! les dieux s’en vont-ils, Madame ? et notre France. — 324. Quoi, les flots sont calmés et les vents sans colère. —51, 94, 283. Quoiqu’il n’y ait point ici… (prose). — 337. Quoi ! vous voulez savoir le secret de mon sort. — 256. Regarde-le, mais pas longtemps. — 124, 284. Reine du pauvre, ouvrez ! il est à votre porte.-307. Reine pieuse aux flancs de mère. — 241. Rentrons, mes chers enfants, de la foule éplorée. — 115, 132. Reprends de ce bouquet. les trompeuses couleurs. —39, 52, 93, 282. Riez, riez, mes légères compagnes. — 446.