Aller au contenu

Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/534

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

520 TABLE DES POÉSIES D’APRÈS LEURS INCIPIT Sombre douleur, dégoût du monde. — 25, 93. Son âge encore tenait à l’espérance. — 396. Son image, comme un songe. —61, 94. Sous les arbres touffus, naïves pastourelles. —42, 97. Sous les mêmes Zéphyrs, sous les mêmes orages. — 123. Sous tes longs cheveux d’or, quand tu cours sur la grève. — 329, 408. Souvent il m’apparut sous la forme d’un ange.— 210. Souvent sur les mers où se joue. — 286. Souvent toute plongée au fond de ma tendresse. — 149, 285. Sur ce lit de roscau, puis-je dormir encore. — 31, 53, 95, 284. Sur l’eau qui nous balance. — 183, 286. Sur la terre où sonne l’heure. — 348. Sur le navire en quarantaine. — 249. Sur les bords d’une source où fermente la vie. — 183. T’ai-je vu chez mon père. — 126, 285. Tais-toi, ma sœur ! le passé brûle. — 173, 286. Tant de flamme a brûlé sa vue. — 396. T’es ma fille ! t’es ma poule.— 408. Tes mépris, ton inconstance. —41, 53, 98. Te souvient-il, ma sœur, du rempart solitaire. —64, 94, 132. Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vie ! -39, 93, 283. Tes yeux noirs, ma fille. —329, 408. Toi, dont jamais les larmes.-40, 93, 283. Toi dont l’âme à la fois lumineuse et sensible. — 206. Toi que l’on plaint, toi que j’envie. — 111, 284. Toi qui m’as tout repris jusqu’au bonheur d’attendre. — 99. Toi, qui reçus par artifice. —42, 97. Toi qui ris de nos cœurs prompts à déchirer. — 368. Toi qui, trop jeune encore, veux danser sur les fleurs.-447. Ton nom au plus distrait donne de la mémoire. — 392. Toujours je pleure au nom de mon enfant. —62, 94. Toujours notre Madone. — 215, 286, 407.