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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/90

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76 POÉSIES DE 1825 S’il fallait en croire Marceline, les liens qui la rattachaient à Bordeaux remonteraient fort haut. Du côté paternel, elle af- firmait être issue d’une famille protestante qui y habitait au XVIIe siècle (Paul Courteault, Mme Desbordes-Valmore à Bordeaux). Ce qui est plus certain, c’est que Marceline vint à Bordeaux avec sa mère vers 1800-1801 afin de s’y embarquer pour la Guadeloupe. 55. Oh ! qu’il ne fût, m’écrivait une amie (LE BILLET D’UNE AMIE). Il est assez vraisemblable que Marceline ait pensé aux malheurs de son amie Pauline Duchambge en écrivant cette poésie. Nous savons, en tout cas, qu’elle envoya ces vers à l’infortunée musicienne, le 3 novembre 1824. 56. Tout perdu dans le soin de ma jeune famille (L’AU- TRUCHE ET LE PÉLICAN).