Page:Cervantes - L’Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche, traduction Viardot, 1836, tome 1.djvu/403

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et ces bois, un endroit où je pusse, sans obstacle, offrir au ciel mes soupirs et mes larmes, où je pusse le prier de prendre en pitié mes infortunes, et de me faire la grâce, ou d’en trouver le terme, ou de laisser ma vie dans ces solitudes, et d’y ensevelir la mémoire d’une infortunée qui a donné si innocemment sujet à la malignité de la poursuivre et de la déchirer. »