Page:Cham - Albums du Charivari, Vol. 2.djvu/37

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— Tu ne me donnes rien pour mes étrennes ?

— Je t’ai donné le fouet ce matin !

— Je vous en prie, ne lui donnez pas une herboristerie, cela pourrait l’empêcher de trouver un mari plus tard !

— Un instant ! Vous emportez vos cheveux ! ils ne vous appartiennent pas !

LA QUESTION DU DÉSARMEMENT.

— Faut la lui ôter ! il en a par trop abusé dernièrement.