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La voilà, la folle coupe.
Le bon roi Dagobert.
Le comte Orry disait pour s’égayer.
Le point du jour.
Le premier pas se fait sans qu’on y pense.
Lise chantait dans la prairie.
Lorsque, dans une tour obscure.
Lorsque j’étais petite.
Madam’ Veto avait promis.
Malbrough s’en va-t-en guerre.
Malgré la bataille.
Ma mie, ma douce amie.
Mars et l’Amour en tous lieux.
Matelot, attrape à danser.
Ma vieille tante Marguerite.
Mes amis, partons pour la chasse.
Mes amis, prêtez l’oreille.
Messieurs, vous plaît-il d’ouïr ?
Michaut veillait.
Moi, je flâne.
Men père a fait bâtir château.
Mon père me marie.
Mon père m’envoi’-t-à l’herbe.
Mon père m’a donné un mari.
Mon pèr’ n’avait d’enfant que moi.
M’y allant promener.
Nous étions dix filles dans un pré.
Nous étions trois filles.
Nous n’avons qu’un temps à vivre.
Nous sommes des moines.
N’y a rien d’aussi charmant.
Ô Fontenay ! qu’embellissent les roses.
Oh ! le bon siècle, mes frères.
Ô ma tendre musette !.
On dit qu’il arrive ici.
Ô Richard ! ô mon roi !
Orléans, Bois-Gency.
Où est la Marguerite ?
Ou vont tous ces preux chevaliers ?
Partant pour la Syrie.
Pauvre brebis ! t’ai-je perdue ?
Pauvre homme ! pauvre homme !
Pauvre Jacques ! quand j’étais près de toi.
Paysan, donne-moi ta tille.
Petit soldat de guerre.
Peuple francais, peuple de braves.
Philis, plus avare que tendre.
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Plus d’un gascon erre.