Page:Chapman - Les Fleurs de givre, 1912.djvu/231

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Et souvent notre œil voit, dans le ravissement,
La nuit, irradier au fond du firmament
Les sables lactescents du chemin de Saint-Jacques.

Tout chante et resplendit sous le flambeau vernal,
Et la forêt, le champ, la colline et le val
Ont l’éclat triomphant d’un clair matin de Pâques.