Page:Charles Dumas - L’Ombre et les Proies, 1906.djvu/19

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Lorsque l’air embrasé par un soleil mortel
T’étourdira, qu’un vent de mer chargé de sel
Et de râles sans nombre
Se tordra sur ton front, voyageur, souviens-toi
Que ma meule un instant peut t’ abriter du froid
Ou te prêter son ombre.


Route de la Delivrande, Août 1906.