Page:Chennevière - Poèmes, 1920.djvu/35

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Allègement de la chair !
Il me semble que je baigne
Dans la paix d’une eau profonde
Qui diffuse le soleil ;

Et le matin est si net
Qu’on voit battre à petits coups,
Sous un voile de sommeil
Le cœur délicat du monde.