Page:Chouinard - L'œil du phare, 1923.djvu/69

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
68
L’ŒIL DU PHARE

niers battements de ses voiles, comme fait l’oiseau de ses ailes en regagnant son nid, il y a double explosion de joie et de vivats, là-haut, sur la jetée, où les mains s’agitent dans l’air et les voix clament l’allégresse ; en bas, sur le yacht où l’on se trémousse pour parer l’amarrage, au commandement d’Augustin dont l’œil superbe se montre rasséréné du panorama saguenayen.

Séparateur