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| Lumineux (phénomènes). — Sur un phénomène lumineux observé en un ciel parfaitement couvert ; Lettre de M. Danse à M. Arago | 30 |
| — Cette apparence paraît tenir seulement à la réflexion, par les nuages, du feu d’une cheminée d’usine ; Lettre de M. Fravient | 256 |
| — Phénomènes lumineux dont les yeux sont le siège. — Nouvelles observations à ce sujet faites par M. Savigny sur lui-même | 379 |
| Lune. — Mémoire sur la théorie de la Lune ; par M. de Pontécoulant | 699 |
| Luxations. — Note sur l’étiologie et le traitement des luxations congénitales du fémur ; par M. Pravaz | 84 |
| — Sur les luxations congénitales et les luxations consécutives de l’articulation coxofémorale ; par M. Milliet | 1022 |
| M | |
| Machines. — Description d’une machine à colonne d’eau à simple effet ; par M. Castels | 578 |
| — M. Maublanc adresse une Note sur une machine de son invention | 801 |
| — M. Ranson adresse le dessin d’un appareil qu’il croit propre à augmenter la force des roues hydrauliques | 801 |
| Machines a vapeur. — Remarques de M. de Pambour sur un rapport fait à l’Académie, concernant ses premières recherches sur les machines à vapeur | 87 |
| — M. Pelletan demande que sa machine à vapeur à rotation soit examinée par la Commission des rondelles fusibles | 206 |
| — M. Arago fait connaître les causes qui ont retardé le rapport qui doit être fait sur cette machine que la Commission a déjà vu fonctionner | 365 |
| — M. Gosse de Billy annonce des expériences ayant pour objet de constater qu’une machine à vapeur établie dans ses ateliers, par M. Pauwels, ne consomme que 2 et demi kil. de charbon par heure et par force de cheval 312 et |
641 |
| — M. Pecqueur demande qu’une Commission soit chargée d’examiner une machine à vapeur à rotation directe, de son invention | 577 |
| — Sur la quantité de houille qu’exige une machine à vapeur construite par M. Pawels. | 641 |
| — Sur les générateurs de vapeur ; par M. Séguier | 691 |
| — Observations sur la force motrice de la vapeur, et description d’une nouvelle machine à mouvement rotatif continu ; par M. Aubujaud. | 711 |
| — Mémoire sur un nouveau système de machines à vapeur rotatives, à palettes mobiles et solidaires, jouant dans une coulisse traversant l’axerotatif sans le secours d’aucun ressort ; par M. Cousin | 761 |
| — Note sur une nouvelle disposition des manomètres destinés aux chaudières à vapeur à haute pression ; par M. Péclet | 806 |
| — Mémoires sur les machines locomotives ; par M. Galy-Cazalat | 874 |
| — Sur une nouvelle chaudière à vapeur ; par M. Ducel | 919 |
| — Mémoire sur une nouvelle machine à feu à rotation immédiate ; par M. Galy-Cazalat | 1020 |
| Magnétisme. — Mémoires sur le magnétisme et l’électricité ; par M. Roessinger | 359 et 761 |
| — Appareil électro-magnétique de M. Neeff. | 406 |
| — M. Roux annonce avoir appliqué cet appareil comme moyen thérapeutique | 408 |
| Voir aussi à Électricité. | |
| Maladies de poitrine. — Sur un nouveau mode de traitement de ces maladies par M. Spier ; Lettre de M. Brosin à M. Arago. | 34 |
| Manoeuvres navales. — Mémoire sur l’évolueur, machine destinée à exécuter à bord d’un vaisseau toutes les manœuvres quand il n’y a pas de vent, et que par suite le gouvernail negouverne pas ; par MM. Bonnefoux et Painchaut | 566 |
| Manomètres. — Nouvelle disposition des manomètres destinés aux chaudières à vapeur à haute pression ; Note de M. Péclet | 806 |
| Mécanique analytique. — Mémoire sur les mouvements infiniment petits des systèmes de molécules sollicitées par des forces d’attraction ou de répulsion mutuelle ; par M. Cauchy | 505, 589, 659, 767 et 811 |
| — Mémoire sur les mouvements infiniment petits de deux systèmes de molécules qui se pénètrent mutuellement ; par M. Cauchy | 597, 719, 779 et 811 |
| — Mémoire sur les mouvements infiniment petits dont les équations présentent une forme indépendante de la direction des trois axes coordonnés, supposés rectangulaires, ou seulement de deux de ces axes ; par M. Cauchy | 937 |
| — Mémoire sur la réflexion et la réfraction d’un mouvement simple transmis d’un système de molécules à un autre, chacun de ces deux systèmes étant supposé, homogène et tellement constitué que la propagation de mouvements infiniment petits s’y effectue en tous sens suivant les mêmes lois ; par M. Cauchy | 985 |
