Page:Considérations sur la France.djvu/278

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^.hibitiTesà ce.qae l’Etat n’achète pas plu^ ïf qu’ilne viend.^’^Au contraire, jamais on n’a employé Ces moyens sans fisûre baisser le change, ou, ce qui revient au même, sans augmenter la dette de la nation ; et jamais on ne prendra une route opposée sans le £aûre hausser ; c’est-à’-dire, sans prouver aux yeux que la créance de la nation sur ses voisins s’est Jaccrue, etc., etc. : Mais c’est dans ce que la Politique a de plus substantiel et de plus fondamental, je -^eux dire dans la €onstîtutiôti même des Empires, que l’obseniation dont il s’agit re* vient le plus souvent J’eiitends dire que les philosophes, allemands ont inventé le mot< àe.MétjsipbiiiiqtiepouTètve jà celitiide Politi^ ^uecequielé mot à^Mé^phjrsï^ue est à celui de Physique. Il semble. que cette nouvelle e^ression est fort bien inventiée pourexprimec la Métaphysique de la Politique^ car il yren a upe, : et, cette science mérita tout^l’at^ tention des observ^tejursw ;,