Page:Constant - Œuvres politiques, 1874.djvu/448

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416 INDEX ALPHABÉTIQUE quelles elle peut donner lieu, 294 et suiv. Dette publique ; on ne ranime pas le crédit en la réduisant arbitrairement, 29 7. Dettes des États ; 292. Dictature à Rome, 20. Diffamation par les journaux, 23 t. Directoire, jugé par Benjamin Constant, 27. —■ viole la constitution, 3 8. —■ étouffe la presse, 236. Discours écrits ; interdits par la Charte dans les assemblées représentatives, 140. ■—■ Avantages de cette interdiction, ibid. Voy. Parlement. Discussion publique ; est nécessaire daus les assemblées représentatives, 139. Dissolution des assemblées représentatives, 23. Voy. Assemblées. Distinctions honorifiques accordées au travail, 255. Dogmes religieux ; les églises peuvent les changer sans le consentement de l’autorité civile, 191. Droit de conquête, 12 et suiv. Voy. Esprit de conquête. —■ de grâce, est un droit légitime, 327. — divin, 11, note. ■— Le droi t divin est ressuscité par Bonaparte, 58, 59. —- des gens, chez les Romains, 3 09. — chez les modernes, ibid. Droits des citoyens ; en quoi ils consistent ?

9, 13.

— individuels ; sont indépendants de l’autorité sociale, 116 et suiv. — L’antiquité n’en a pas la notion, 262, 263. ■— des gouvernements sur l’industrie. 23 9. j Blindas (Henri), ministre de la guerre, est traduit devant la chambre des lurds, 108. ’ Dynasties nouvelles ; sont orageuses et oppressives, 48. — Napoléon en est la preuve j ib. E Écrivains qui bravent la loi, 217, 219.. Voy.Responsabilité. ■—• au service du pouvoir, 407. Éducation ; ne doit pas être aux mains de l’État, 278. Églises, Voy. Dogmes. Égoïsmes (les deux), 224. Électeur qui s’entretient avec lui-même, ce qu’il se dit, 169 et suiv. Électeurs ; ruses auxquelles on a recours pour les tromper, 178, 179. —• en 1873 ; exemples de leur ignorance, 28 5, 286, note. Élection substituée à l’hérédité, 60. •—> directe ; indispensable dans un grand État, 137. -—- Avantages qu’elle présente, ibid, —■ Pourquoi nous nous en défions, 149. — retient les propriétaires sur leurs terres, 158. Élections ; deux causes lesfont dévier, en France, (l’une bonne pratique, 145 et suiv. — n’ont jamais été ’ libres en France, 147. — Comment elles se pratiquaient sous le second empire, d’après M. de Cormenin, 148, note. —■ Il ne faut pas y admettre le principe de la notabilité, 151. — Comment elles se pratiquaient d’après la Constitution de l’an YIII, 1 50. ■— Inconvénients de ce système, ibid. ■—- sous le Consulat, 152. — n’olfrent pas de trace d’une origine nationale, 153. — ne doivent pas, suivant Cabanis, se faire par le peuple, 153. — sectionnaires ; leursavanlages etleursinconvéuienls, 155.