Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/121

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Au coin du feu mourant deux fauteuils rapprochés
Semblent causer entre eux de nos prochains péchés.
Un coussin traîne là sans raison ; mais le fourbe
S’offrira tout à l’heure au genou qui se courbe.