Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/257

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Il rêve, il croit revoir sa mère qui partit,
Soissons, et le bon temps, quand il était petit.
Le pauvre être pardonne, il s’apaise, il oublie,
Et, lent, casse son sucre avec mélancolie.