Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/30

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



Hélas ! courbons le front sous le poids des exils !
C’est en vain qu’aux genoux attiédis des amantes
Nous cherchons l’infini sous l’ombre de leurs cils.

Jamais rayon d’amour sur ces ondes dormantes
Ne vibrera, sincère et pur, et les maudits
Ne retrouveront pas les anciens paradis.