Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/310

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Et moi, plus que l’enfant, je me suis amusé,
Et puisque le voyage, hélas ! m’est refusé,
Une heure j’ai joui d’un mirage illusoire :

L’odeur de ces joujoux mal taillés et mal peints
M’a permis de courir tes déserts de sapins,
Et j’ai connu ton ombre immense, ô forêt Noire !