Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/71

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Mais s’il fuit, le poltron, et regarde en arrière,
Il voit tout près, tout près, l’infernale lumière
Grossissant et dardant sur lui son œil mauvais.

Ô vieux désir, pourquoi donc me poursuivre encore,
Puisque tu t’es enfui quand je te poursuivais ?
Quand donc t’éteindras-tu ? Quand donc viendra l’aurore ?