Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t1, 1885.djvu/77

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Cette splendeur rayonne et fait pâlir des bagues
Éparses où l’onyx a mis ses reflets vagues
Et le froid diamant sa claire goutte d’eau ;

Et, comme dédaigneux du contraste et du groupe,
Plus loin, et sous la pourpre ombreuse du rideau,
Noble et pur, un grand lys se meurt dans une coupe.