Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/244

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Je suis resté longtemps, seul, devant mon désastre.
Des midis sans soleil, des minuits sans un astre,
Passèrent, et j’ai, là, vécu d’horribles jours ;

Mais tu parus enfin, blanche, dans la lumière,
Et, bravement, afin de loger nos amours,
Des débris du palais j’ai bâti ma chaumière.