Page:Coppée - Œuvres complètes, Poésies, t3, 1888.djvu/274

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LE BON LENDEMAIN

J’ai, de façon presque incongrue,
Bâillé dans le monde, hier soir…
Ma petite amie, allons voir
Les humbles passants dans la rue.

Le musc est un affreux parfum ;
On m’a dit trop de platitudes…
Dans le faubourg aux odeurs rudes,
Écoutons les gens du commun.