Page:Coras - Altercacion.djvu/110

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’ A N NOTA CION. 5 E N E oy E, a pareillement dit, ’ jeuranct. mort, ct vne grade affeurancc : mais il ajoute, ie ne sçai quoi, refen- * y* • • / • . SeneqHt enYVM.uVî tantfonimpietejqueieneveuxjmnc rrpijhesB. dois référer ici *. mêmement qu’il nous fuflît d’entendre, la mort être véritablement (comme Epidete dit) le vrai refuge, le port affeuré, la fantè parfaite, la viéloire entière, 8<r dcliurâcc de toutes mifcres, & mortelles calamités.fentcce rcligieufe, & chretienne. à laquelle pourtant, accédé Platon, quand il dit. la mort être vn change, aucq vn heur, & bien pcrpé- ^ tuel K Et la mort, que plusieurs crai- "* • a f r* Mortefivn gnenttant, n otc point(dit Scneque) ou il trahie tqLZ la vie, mais la difcôtinue seulement-». tutZ immortfL Car est l’autfc monde, nous ferons ^ f . I A Sruequeau bienheureux, pouretre exempts, & tinrr, j„ deliurés, de toutes cupiditas, trou-