Page:Coras - Altercacion.djvu/116

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sage, ncftimale mourirchofemalheureuse. ni ne s étonna, de la mort. &aiIleurs.Tant s’en faut, dit il, qu’on doiue craindre la mort, qu’on la dcuroK plus tôt desirer ». partant qu’on üXodu t. cfperc, aprés la mort, grande beatirutUuh. de^Cc que Platon montre diffu- dtr fpitres fcmment, au traité de l’ame fi notre Adrian l’eût eu deuât le* ieux, jXXfZX quand sur le dernier point de fa v ie, «*/’■• difoir, pidXn i» Pbâdone, JIojpcSfComestjMe corporis^ . Qure nunc abibu inlvcrt pÆdulajtigidula, nudula, Nec ytfoies dahii iocàs r. llfe fût mieux aflcuré. & n’eût pas a fait fi piteux regret de son ame. Certes, pour ne craindre la mort, mêmes aux Ethniques, & aliénés de toute religion, deuroit fuffirc. quelle êt in-