Page:Coras - Altercacion.djvu/120

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ſoudre lame du corps, finon i celui, qui les a conioints, & aflemblcs. de nous étans feruiteurs deDieu, deuons attendre ses commandcmens • Toutefois plusieurs, Ic tems pafsé, fefonc eux mêmes occis. les vns eniurés de vainc gloire, prétex ans toutefois, ie ne sçai quel salut du peuple, (corne coJrtu, vn CodruSjà Athènes. Pro patria non timidus mori. MtnecMm, Menecæus, à Thcbcs. les Curfes, 8c dZÎZ Dcces, à Rome.*) D’autres pour ne ^ tomber, au pouuoir dc leur ennemi, qw»», m “ (comme Caton, & Annibal.) d’autrès fâchés, des mifcres de ce mode, corne les Gimnofophiftes, & : Brach UgTZo. mânes, aux Indes, mais c’êt (ainsi fithifies. que i’ai>dit)droitcmcnt entrepredre, sur l’autorité dcDieu.Dreflbns donques noz ieux au ciel, difons à notre pere, soit faite tayohmé. & aions vn