Page:Coras - Altercacion.djvu/211

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créateur, de toutes choses. Mens enim mbis eilfin yno quoq.e Deus, L’opinion des Dieux, et naturellement cngrauec(ditCicéron)au cœur o/» ;» ;»» de tous les hommes. dêquels il nia nacion Q dure,8c H barbarc, (l fauua-Ocirn 4H ge, ni fi cruelle, qui ne pense, qu’il i a lIZ’.aZi. vn Dieu, à qui « faut retirer ’, fanslcdr, Tu/cH. quel iiigement, nous ferions plus bru idHfSXr 4U f 1 A »A 1. dfU nd~ taux, que les bctes . 6c c et pourquoi

  • dZ‘ !x Ouidc disoit être expédient, non feu.

lemcnt qu’il i eût des Dieux, mais encore qu’on le pensât*. Outde dU . Iture iM ExPedit effe Ikos, O* expedit ejfeputemw.

Et fi nous craignôs Dieu, citpeur, oxmtefn. dit Epidtéte, parlant delà crainte fer- l !uu7^ uile, des médians. dans le cœur dêqucls, Dieu met vne peur,8c vne lâcheté : fi grade, qu’à la moindre pourli » «t l’ennemi, ils trébuchent, font cZPZ abatus,8c rcnuerséss.maisles fidèles.