Page:Coras - Altercacion.djvu/234

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fortuné, qui net iamais entré dans la j mer ^Cc q les anciens, ont laifsé par adage, difans, le feu, la mcr,8c la fême, êtrc les trois choses de ce mode, plus dangereufcs, Sc pcrillcufes. Et Caton, fouloit détéftcr trois choses : Sc quand elles lui aucnoicnt, s’en repentir griéucment . La première, de commettre ses secrets, â fa femme, la féconde, de laisser couler vn iour, sans profiter à quelqu’un. ou faire quelque fruit. la troisième, dc nauigucr, quand on pouuoit aller par terrc ^.laqllc fcntêce, toutefois, plusieurs attribuent, à Aléxandre le grand. Sc ^ u y’ted* d’autres à Aristote. Euripidés, aufsi disoit, que celui, qui continue d’aller sur l’eau, ou il êt hors de sens, ou bclitre. ou bien, il defire de mourir.

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