uent richesses, & félicités mondai nés, être entre les mains des mauuais : & les bons, demeurer pourcs, & mir ferables.Diçu dit il souffre, les corrô pus, depraués, &vicieux, viurediffolucmêt. ne les eftimant point dignes de fa connexion.mais les bons, partac qu’il les aime fort, aufsi il les châtie fouucnteffois.& les exerce, à lufage de vertu, par continuels labeurs. & ne permet point, qu’ils foicnt dcpraucs ni poilus, des caduques biens, de ce môde.non que parla ie vucille dcteftcr, & rédre abominables, les hônê- prrmif-i. tes, & vraies richesses, cet à dire felô Anftote, celles, qui fubminiftrcnt les choses neceffaircsjà la vie, & profi tables, à la compagnie humaine, &c commerce des Citoicns. dêquelles entend le Lyrique parler, quand il
