Page:Coras - Altercacion.djvu/47

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les lui font bonnes. & s’il en vfc mal, ’ Terni, , u cllcs foot mauuaifcs.’Dc laqucllc fcD eunZt ! tccc, fut iadis aufsi Pofsidoinc. quat umorume. disoit, Ics fichcffcs cttc cause de ItOt» - t tout mal • non qu elles soient de foi rZfZhe "* mauuaises, mais par tant, quelles occafionncntjôe prouoqucnt ceux, qui veulent faire mal.*& par ce que d’au tant plus, que les richelfes abondent, noz courages s’cmbrafent, pour en auoir dauantage. HarAtcAu ÇrefccntemJiqmtur curafectêniam :^ : Çdexfi. 5e Orefcitamor numi^quantuiffipecunîa cre/citA

  • 4 .1. Voila pourquoi Plautc.disoit qu’il

U/ZCiyZ ^uoit toujours hai les richelfes. par- ^ rant qu elles auoiêt fouucnr, & à plu fomrdîe in, fieurs pcrfuadé, beaucoup de choies mauuaifcs., & à la vérité. 4 Saf>e filent auro^nulta fibejfi maUf T’thulU AU ^ f* y. f. ^. Hutti tu. Et II n 1 a hn aucune, constituée aux 2“ hommes, d affcnablcr richesses. Haud