Page:Coras - Altercacion.djvu/8

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mencé mcncc) yous irejfer, former, Ci ?* conduire, à toute excellence, &perféxhn, yous montrant plus totfucceffcHr, participant, des yertus de leur maieflé, que delà couronne, à laquelle, comme auft aux autres hiens terrejhes, la Loi, ni la coutume, ne permettent hériter les enfans, deuant la mort du pere, mais aux yertus (fouueratns biens de ce monde) l’enfant doit dex^fm ieune âge, participer, prendre, ^ ardemment embrafjer, ynfi opulent, riche l’héritage. Ce que iufques ici (sire) yous aue : x^ f bien,0* dignement fait : quil net rien figrand, niJt hau t, qu’on n attende de yous. pour yoir éterniser la mémoire, de yotre gandeur, renommer, au sacré temple, d’honneur, ^ de yertu, le ne fuu toutefoufiplxin de motmemes, que te ne eonfeffe, librement, auoir par trop entreprins, rn ingérant de mettre ynjt ojfrandefi humble, yn don fi petit, sur yn autelfigad, f haut, f^fi honorable. S’il ne yous platt(Sire)c ouurir bénignement, ma trop courageuse entreprinse, du manteau de yotre humanité, t exemple de notre bon Dieu, quifi humainement receutle quadrin, de la poure yeuue n’éſti-