Page:Cottin - Œuvres complètes, Ménard, 1824, tome 6.djvu/276

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je fuis, je renonce à vous, je renonce à tout ; je hais un monde où il se trouve de pareilles douleurs et de telles perfidies : enfin, lorsque je pourrais vous croire encore, lorsque vous m’aimeriez toujours, je repousserais la confiance, je rejetterais votre amour, et de même qu’à présent, la mort me semblerait plus douce que tout le bonheur que vous pourriez m’offrir.


FIN DU SECOND VOLUME.