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Page:Coupey - Muse des enfants, 1875.pdf/189

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MUSE DES ENFANTS.

— Ce mot, mon fils, est fort vexant, Dit la mère en le corrigeant. Il raille un malheur de naissance Et ne mérite l’indulgence. Toutefois, je connais Gaston, Il l’oubliera, car il est bon. Mais que Myrtil souvent y pense : Amour-propre que l’on offense, Ne se rend pas à nos regrets Et ne nous pardonne jamais.