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Page:Coupey - Muse des enfants, 1875.pdf/219

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MUSE DES ENFANTS.

Ange se plaint. Jean de rire, Et de narquoisement dire : Mes citrons tu les auras, Quand l’arbre tu planteras. Sur cette belle finale, Mon joli farceur détale, Jetant au dupe surpris, Ce sage et prudent avis : Du moment que l’on dispose D’un objet ou d’une chose, Faut savoir s’en contenter, Et ne point aller tenter Les caprices de Fortune, Car au lieu d’un, au lieu d’une, Zéro chiffre en pareil cas : Un tiens vaut deux tu l’auras ! >>