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CLITANDRE.
Oh ! pardonnez-moi : pour les esperances qu’elle y a, je les devine ; & vous le voyez bien au chagrin que j’ai de ce qu’elle y est. Je ne vous comprends pas ! il faut assûrément bien craindre de manquer de monde, pour se charger d’une pareille espèce !
CIDALISE.
En vérité, Clitandre, voilà une discrétion bien inutile, ou un persifflage bien ridicule ! Vous verrez aussi que c’est moi qui vous ai joüé le mauvais tour de prier Célimene, & que c’est encore ma faute si Belise, Luscinde & Julie se trouvent chez moi en même tems.
CLITANDRE.
Oh ! pour celles-là, il ne se peut pas qu’ayant chez vous Cléon, Oronte & Valere, vous pensiez qu’elles y sont pour moi.
CIDALISE.
Mais je ne jurerois pas que vous