Page:Créquy - Souvenirs, tome 10.djvu/31

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

De Lentilhac de Gimel et de Sédières, 1319 (Dominus).
De Noé, 1319
De Montréal, 1319
dans un même contrat (Nobles Champions).
De Hinnisdael, 1319

De la Rocheaymon, 1319, avec une indication très-antérieure.

De Castelbajac, 1320 (Damoiseau).

De Rozyères-Soran, 1320 (Varlet-au-Roy).

De Sarlabous de Mun,
D’Escayrac,
De Clarac,
D’Enguerravacques,
tous les quatre par le même acte, en l’année 1320
D’Ourches, 1322, avec mémoration de l’année 1242.

De Circourt, 1322, par citation dans un acte de 1382.

De Beaupoyl de Sainte-Aulaire, 1325.

D’Ons-Alais, 1325 (Baron).

Dreux, de Reux, ou plutôt de Dreux, de Beaussart, de Ligueil, de Brézé et de Nancré, 1326, ainsi qu’il appert d’un acte de 1454, par lequel cette famille est inconstablement rattachée à la branche de Beaussart de la maison de Dreux[1].

  1. Il faudrait s’étendre un peu sur cette famille, en réplique au Duc de Saint-Simon dont la faconde est très-malveillante à l’égard du Marquis de Dreux, Grand-Maitre des cérémonies sous Louis XIV. Pour apprécier cette acrimonie déloyale et pour expliquer ses dénigrements, il est à propos d’observer, entre autres griefs, qu’aux funérailles de Louis XIV, à Saint-Denis, cet officier de la Couronne avait cru devoir s’incliner en passant devant le Grand banc du parlement de Paris, avant d’avoir fait la révérence à Messieurs les Ducs. Il est résulté de ceci des torrens