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SOUVENIRS DE LA MARQUISE DE CRÉQUY.

prit pour se rendre coupable d’une aussi lâche infamie[1].

Ce sont MM. de Sartiges et de Lezay-Marnézia, Comtes de Lyon, qui m’ont envoyé le procès-verbal de cette fonction pastorale en exorcisme.

  1. Le mariage de M. de Talleyrand doit être postérieur à l’époque où l’auteur écrivait ce paragraphe. Tout en professant et n’ayant jamais cessé de professer, à l’égard de M. de Talleyrand, la même opinion que Mme de Créquy, l’éditeur de cet ouvrage aura soin de faire observer qu’elle s’est trompée sur la délicatesse de sentiment et la quantité d’esprit qu’elle attribuait à ce diplomate.