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SOUVENIRS DE LA MARQUISE DE CRÉQUY.

« A surpassé l’art de la Chine ;
« Les fleurs et les cristaux brillans,
« Toutes ces fragiles merveilles,
« Et les deux lustres scintillans
« Qui pendent à vos deux oreilles,
« Ces riches carcans, ces colliers
« Et cette pompe enchanteresse,
« Ne valent pas un de baisers
« Que tu donnais dans ta jeunesse[1].


fin du cinquième volume.
  1. On a cru devoir reproduire cette version d’après un autographe de Voltaire. On verra qu’elle est préférable à celle de l’édition de Kelh, et tout donne à penser que les premiers éditeurs n’avaient connu cette pièce que d’après le recueil d’Amsterdam.
    (Note de l’Éditeur.)