mère sans préjugés, qui permit la délicate opération, et toute la salle croule.
Dame de la Mer, après avoir salué, va s’asseoir à côté d’Optimus.
Entre Miss Patre.
Travestie en page pour film de Douglas Fairbanks, la belle Américaine, échappée de la plus médiévale des cavalcades à Hollywood, avant de chanter ses ballades écossaises, y va aussi de son petit discours.
Elle juge en effet de son devoir que nul de ceux qui s’intéressent à la sexualité n’ignore comment, après avoir obtenu de sa puritaine famille le droit de quitter les Massachusetts pour l’Europe, une amazone de la banlieue bostonienne vint à Berlin, ou, désireuse d’étudier la libido, elle savait trouver la plus merveilleuse opportunité « in the world ». Issue des Patre (on ne fait pas plus Mayflower), la jeune fille avait vu tourner la chance « at home ». D’abord le vieux père. Sans doute il continue toujours à signer les billets de banque de l’Etat, mais, un jour de grand froid, un vent lui a gelé son œil droit, depuis lors plus dur